Parce qu’il est plus facile de violer la loi que de s’y conformer, surtout quand on se croit au-dessus d’elle… Parce qu’une fois publiées, les images des scènes de torture risquent de faire aussi mal que les actes…
Le 12 mai, la PRVC a été mise en demeure de fournir toutes les données susceptibles de démêler cette sombre affaire.