Fossoyeur historique de tous les titres qu’on lui a confiés, L’Hebdo, Saturne, puis, enfin, il était temps, Le Matin, Ariane Dayer est en passe de réussir son pari avec Le Matin Dimanche, qui a déjà perdu près de la moitié de son lectorat mais résiste encore. Sa solution ? Plus de féminisme.